Génératrice d’un abîme de solutions dans quasiment tous les secteurs de la vie, la révolution numérique est sans doute, la chose la plus marquante que l’humanité ait connu au cours du XXe siècle. À l’origine de cet agrégat de changements se trouve un élément clé : les puces en silicium. plus d’informations dans la suite de cet article.
Quels sont les événements ayant marqués l’invention des puces en silicium ?
Tout a commencé par l’invention du transistor devenu réalité après un nombre incalculable de tests électriques réalisés par trois employés des laboratoires Bell d’AT & T, en l’occurrence John Bardeen, Walter Brattain et William Shockley. C’était le 23 décembre 1947. Quelques années après, plus précisément en 1958, l’américain Jack Kilby officiant alors en qualité de chercheur à Texas Instruments, donna plus de sens à cette invention en réussissant l’exploit de raccorder plusieurs transistors. Il devint ainsi le créateur des premières puces en silicium ou si vous préférez, du tout premier circuit imprimé. Ce composant électronique reproduisant une ou plusieurs fonctions électroniques extrêmement complexes sur une infime surface, sera très rapidement commercialisé à une grande échelle. Intel, la firme américaine, est le principal symbole du succès planétaire de cette invention. En cliquant, vous trouverez plus d’informations sur l’histoire du circuit intégré.
À quoi servent les puces en silicium ?
Les puces en silicium, disons-le au prime abord, sont au coeur de la révolution numérique. Cela est d’autant plus vrai qu’on les retrouve dans le montage d’un nombre infini d’appareils (informatiques, électro-ménagers et autres) tels que la télévision, la radio, les smartphones, les bracelets, les ordinateurs, les bracelets, les voitures, les amplificateurs hi-fi, les objets intelligents et j’en passe. Cette omniprésence du circuit imprimé se justifie notamment par son pouvoir d’exécution de programme et de stockage de données. Il se présente à cet effet sous deux formes différentes : microprocesseur et mémoire.