Brexit ne cesse de parler de lui depuis le 23 Juin 2016, jour où il a fait l’objet d’un référendum. Sa sortie au printemps a été revue pour le mois d’Octobre 2019 finalement. Les consommateurs et les investisseurs européens peinent à trouver une stabilité face aux incertitudes provoquées par Brexit. Quelles seraient donc ses conséquences directes ?
Retombées économiques et sociales du Brexit
Le monde du marché mondial est régit par le flux de l’offre et de la demande. C’est une règle basique. Si le retour des droits de douane plane encore dans les esprits des opérateurs économiques, Brexit suscite déjà un autre problème. C’est celui de la confusion. Pour en savoir plus, suivez les actualités ici. Les Britanniques restent sur la défensive en diminuant leurs investissements. Les autres pays en sont directement liés, si Brexit équivaut à 2,2% du PIB pour la Grande-Bretagne. Les autres pays européens encaissent les ondes négatives pareillement. Si l’accord de libre-échange reste absent, les opérateurs resteront dans leur position. Ceci ne prévoit donc rien de bon pour ce secteur fortement économique.
Et si Brexit est considéré d’une autre façon ?
Ce sont là des estimations et des observations faites par des experts dans le domaine. Tant que le système global reste en marche, il n’y a pas de résultats catastrophiques palpables. C’est-à-dire que tant que la Grande-Bretagne échange de près ou de loin avec les autres pays, les éventuelles conséquences du Brexit resteront insignifiantes. Peut-être que Brexit est jugé à la hâte, puisque la crise économique touche à peu près tous les pays développés ? En tout, l’attente du Brexit se fait sentir d’une manière ou d’une autre. Si pour la Grande-Bretagne, une chute économique de 0,2% en est ressortie, pour la France, elle connait une hausse de 0,3%. Que peut-on en tirer ?